Eric BOSC, futur ailier fort de l'Etoile

2 août 2018 12:00:00 dans NM1

Pilier de Tarbes/Lourdes depuis huit saisons et joueur de devoir, l'ailier fort-intérieur guadeloupéen Eric Bosc, 25 ans, a décidé de couper le cordon qui le liait au club pyrénéen en signant à l'Etoile de Charleville-Mézières.

  

Présentations:

Après avoir débuté en cadets sous le maillot de Tarbes en 2010 et connu la vertigineuse ascension du club entre la prénationale et la Nationale 1, Eric Bosc, s'est résolu à franchir un nouveau cap en quittant la Bigorre pour rejoindre les Ardennes et signer à l'Etoile de Charleville-Mézières.

A 25 ans, le jeune et longiligne joueur guadeloupéen (1,88 m) évoluant au poste d'ailler fort ou intérieur continuera donc son parcours au troisième niveau français où il disputera sa sixième campagne consécutive.

Gagnant sans cesse du temps de jeu sur les parquets hexagonaux en devenant plus fort au fil des années, Eric Bosc qui avait appris les bases du basket en Guadeloupe avant d'évoluer une saison dans les Landes où son frère l'avait fait venir, a explosé en Occitanie sous le conduite d'Alexandre Casimiri.

"Il y a toujours eu une relation spéciale entre nous. Un peu comme celle d'un père et d'un fils" a confié un jour le jouer à La Nouvelle République des Pyrénées.

Le crazy dunker du Quai de l'Adour

L'entraîneur carolo a en tout cas souhaité le revoir à la Caisse d'Epargne Arena.

Joueur consciencieux et impliqué (6 pts à 59%, 2 rebonds, 6,2 d'évaluation lors du dernier exercice) , toujours à son top sur le plan physique, donnant toujours le maximum sur le terrain, Eric d'une énergie débordante et communicative sur le terrain, a montré depuis 2013 qu'il savait aller au charbon et défendre. Il possède aussi un vrai sens du spectacle en sachant faire se lever les foules sur des contres ou des dunks.

Des qualités athlétiques qui lui ont valu d'être apprécié du public du Quai de l'Adour où il a joué un rôle prépondérant dans les solides saisons de l'Union Tarbes/Lourdes en Nationale 1. Car Eric n'est pas du genre à jouer petit bras...

Pascal REMY

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